Les 5 sens du chien

Les chiens sont digitigrades, c’est à dire qu’ils marchent sur leurs coussinets.

Ils sont indispensables au chien, constituant un amortisseur (surfaces dures, rugueuses) et un isolant du chaud et du froid. Ils permettent également au chien de transpirer via les glandes sudoripares.

Quant aux vibrisses, il s’agit de poils épais que l’on retrouve au-dessus des yeux, sur le museau et le long de la mâchoire, ils servent de véritable boussole aux chiens, captant les flux d’air et les aidant à s’orienter.

La peau, elle, est moins développée que chez l’homme mais possède des thermorécepteurs capables de détecter le chaud et le froid et permettant au chien d’hérisser le poil.

Pour finir, même si cela peut paraître surprenant, la truffe fait aussi partie des organes du toucher.

En effet, chez le chien, odorat et toucher sont liés, la truffe se composant de terminaisons nerveuses lui permettant de savoir de quoi se compose son environnement.

Le toucher n’étant pas très développé chez notre compagnon à quatre pattes, il n’est pas très sensible à la douleur.

5) L’odorat

L’odorat est, comme vous le savez sûrement, le sens le plus développé chez le chien, surpassant largement celui de l’homme avec 200 millions de cellules olfactives contre 5 millions chez nous.

De plus, l’organe Voméronasal ou organe de Jacobson des canidés situé derrière les incisives et juste au-dessus du palais permet au chien de reconnaître les phéromones et mesure de 125 à + de 200cm² en moyenne chez cet animal, contre seulement 3 cm² en moyenne chez l’être humain.

C’est également le seul sens actif dès la naissance du chiot, lui permettant d’accéder aux mamelles de sa mère.

Ce sens est discriminant chez le chien, celui-ci étant capable de détecter et de suivre une odeur précise parmi une multitude d’autres odeurs.

Ce flair est utilisé dans de nombreux domaines par l’être humain comme la chasse, la recherche de stupéfiants et d’explosifs, la recherche de personnes disparues (avalanches, séismes par exemple) ou encore la recherche de truffes.

  • 1. Cavité nasales

Environ 10% de l’air inspiré atteint l’appareil olfactif, ce qui suffit à stimuler son odorat.

  • 2. Narines

Permet de renifler directement vers l’avant et d’expirer vers les côtés grâce à de petites fentes créant ainsi des tourbillons qui attirent de nouvelles molécules odorantes.

  • 3. Organe de Jacobson (organe voméronasal)

Organe olfactif du chien permettant la reconnaissance des phéromones présentes dans l’environnement.

  • 4. Muqueuses olfactives

125-200cm2 (contre 2 à 3 cm2 chez l’humain)

  • 5. Épithéliums olfactifs

200 millions de récepteurs (contre 5 millions chez l’humain)

  • 6. Bulbe olfactif

Ultrasensible à certaines odeurs et peut en distinguer des millions

  • Peu performante chez le chien.
  • Champs visuel à presque 250°
  • Voit en nuances de bleus et de verts sans contrastes. Peu de cônes (récepteurs des couleurs) en fond d’œil.
  • Voit parfaitement les mouvements de loin, mauvaise accommodation de près.
  • Sensibilité à la lumière accrue (beaucoup de bâtonnets dans l’œil).
  • Œil doté d’un iris très réactif qui s’ouvre d’autant plus que la lumière est rare. Adaptation quais immédiate, le chien crain moins les éblouissements.
  • La vision de nuit est améliorée par une mince couche de cellules réfléchissantes tapissant le fond de l’œil.
  • Cette couche de cellules intensifie la lumière et reflète, ce qui donne cet aspect aux yeux du chien que l’on voit dans la nuit.

2)   L’ouïe

  • Perception : ondes sonores de 50 kHz (vibrations/sec)
  • L’Homme entend jusqu’à 30 kHz
  • Les ultrasons sont perçus par le chien et non par l’Homme
  • Le chien entend les sons de faibles intensité jusqu’à 20 – 25m de distance (l’homme entend jusqu’à 4m de distance)
  • Sensibilité auditive du chien accrue : lui permet de différencier sans confondre des sons se succédant très rapidement

3) Le goût

Bien moins développé que chez l’homme, cela n’empêche pas Médor de préférer les friandises à ses croquettes. En comparaison, l’homme possède 10 000 bourgeons gustatifs contre seulement 1700 pour le chien.

4) Le toucher

Les chiens sont digitigrades, c’est à dire qu’ils marchent sur leurs coussinets.

Ils sont indispensables au chien, constituant un amortisseur (surfaces dures, rugueuses) et un isolant du chaud et du froid. Ils permettent également au chien de transpirer via les glandes sudoripares.

Quant aux vibrisses, il s’agit de poils épais que l’on retrouve au-dessus des yeux, sur le museau et le long de la mâchoire, ils servent de véritable boussole aux chiens, captant les flux d’air et les aidant à s’orienter.

La peau, elle, est moins développée que chez l’homme mais possède des thermorécepteurs capables de détecter le chaud et le froid et permettant au chien d’hérisser le poil.

Pour finir, même si cela peut paraître surprenant, la truffe fait aussi partie des organes du toucher.

En effet, chez le chien, odorat et toucher sont liés, la truffe se composant de terminaisons nerveuses lui permettant de savoir de quoi se compose son environnement.

Le toucher n’étant pas très développé chez notre compagnon à quatre pattes, il n’est pas très sensible à la douleur.

5) L’odorat

L’odorat est, comme vous le savez sûrement, le sens le plus développé chez le chien, surpassant largement celui de l’homme avec 200 millions de cellules olfactives contre 5 millions chez nous.

De plus, l’organe Voméronasal ou organe de Jacobson des canidés situé derrière les incisives et juste au-dessus du palais permet au chien de reconnaître les phéromones et mesure de 125 à + de 200cm² en moyenne chez cet animal, contre seulement 3 cm² en moyenne chez l’être humain.

C’est également le seul sens actif dès la naissance du chiot, lui permettant d’accéder aux mamelles de sa mère.

Ce sens est discriminant chez le chien, celui-ci étant capable de détecter et de suivre une odeur précise parmi une multitude d’autres odeurs.

Ce flair est utilisé dans de nombreux domaines par l’être humain comme la chasse, la recherche de stupéfiants et d’explosifs, la recherche de personnes disparues (avalanches, séismes par exemple) ou encore la recherche de truffes.

  • 1. Cavité nasales

Environ 10% de l’air inspiré atteint l’appareil olfactif, ce qui suffit à stimuler son odorat.

  • 2. Narines

Permet de renifler directement vers l’avant et d’expirer vers les côtés grâce à de petites fentes créant ainsi des tourbillons qui attirent de nouvelles molécules odorantes.

  • 3. Organe de Jacobson (organe voméronasal)

Organe olfactif du chien permettant la reconnaissance des phéromones présentes dans l’environnement.

  • 4. Muqueuses olfactives

125-200cm2 (contre 2 à 3 cm2 chez l’humain)

  • 5. Épithéliums olfactifs

200 millions de récepteurs (contre 5 millions chez l’humain)

  • 6. Bulbe olfactif

Ultrasensible à certaines odeurs et peut en distinguer des millions

Plus d'articles

Comportement Canin
Éducateur / Instances
Vétérinaire